__IDENTITY

Smile, grow up and cry. ♥

• Nom : Hara • Prénom : Yutsuki • Age : 18 ans • Sexe : Masculin • Date de naissance : 3 Mars • Lieu de naissance : Iwa • Niveau : Chunin • Nation : Pays de la terre • Sensei : Deidara


__APPEARANCE & PSYCHOLOGY


Open your mind :


Mon caractère est instable, et je n’aime pas quand une petite merdeuse veut changer mon état d’esprit. Je suis lunatique à souhait. Je peux vous embrasser lundi, vous saluer mardi, vous ignorer mercredi et vous sauter au cou jeudi. Je suis comme ça depuis ma naissance. Ma mère comprit immédiatement que sa vie avait changé quand je naquis. D’une vie sereine elle passa à une vie infernale. Je réclamais un biberon et à la seconde où je buvais une gorgée de lait, je lui recrachais tout dans la figure. Plus tard, mon père me compara à l’eau.

« Tu peux passer inaperçu telle la vapeur. Ta sévérité est aussi solide qu’un glaçon. Tu es aussi imprévisible que la pluie. »

A la seconde où vous lisez ses propos vous prenez conscience du calvaire que j’ai vécu. Ouais, ce n’est pas facile de vivre avec un con pareil. Je passe inaperçu moi ? Alors fais comme si tu ne me voyais pas, ça me fera des vacances. Un glaçon c’est solide ? C’est marrant, le glaçon qui flotte dans mon verre de vodka est en train de fondre. Et si tu ne sais pas prévoir la pluie regarde donc la météo. Nan mais quel con…

Heureusement, je me sauve de sa connerie quand je sors, ou quand je vais à l’entraînement. Quand j’étais gamin c’était un ninja du nom de Deidara qui m’apprenait tout. Lui aussi il en tient une sacré couche, mais au moins c’est un génie et un artiste. Cependant il n’existe pas que les entraînements, il y a aussi les sorties entre « amis ». Amis… je me demande quel est le con qui a imaginé cette notion. Je ne respecte rien ni personne, je n’ai pas le temps de m’attacher à des bricoles. Ce que j’aime par-dessus tout c’est sortir, (dé)coucher, boire à n’en plus pouvoir, (me faire) casser la gueule, et recommencer le lendemain.

Tout ça n’est pas très poétique, mais je tiens à ma liberté et à ma devise qui résume toute mon adolescence : Sexe Drogue And Rock’n’roll. Sauf que selon moi, ces mots ont une définition précise, loin de celle que vous pourriez imaginer. Soyez logique, si je passais mon temps à me droguer, j’aurai des cernes, une haleine de cheval et des yeux de bovin. Et comprenez que si j’avais tous ces « atouts » -pur sarcasme- je ne pourrais pas profiter de mon premier passe-temps. Par conséquent, ma seule drogue c’est la cigarette. Putain, qu’est ce que c’est kiffant de se griller une petite clope autour d’un verre. Y’a rien de mieux. Ouais, j’oubliais, ma drogue c’est aussi l’alcool. Ça aide énormément à décompresser et à oublier les cons qui peuplent cette fichue terre. Tiens d’ailleurs, mon petit cousin –le seul mec que je puisse blairer dans ma famille- vient de m’inviter à boire un coup. Et je sais qu’il ne vient jamais seul, ça pourrait être intéressant…



Don't sell your body :


Grâce à moi vous connaîtrez l'amertume des sentiments ♥

Comment je suis ? Je t’en pose moi de ces questions ? Mouais, je vais quand même essayer d’être le plus juste possible. Je suis de taille moyenne, 1 m 72, ouais ce n’est pas grand, mais j’ai ce qui faut là où il faut. Je ne fais jamais attention à ma coupe, je ne me coiffe pas et je préfère mettre un chapeau pour cacher ma négligence. En fait, moins je fais attention à ma coupe et plus cet aspect désinvolte fait des ravages sur la gente féminine. Pour un mec j’ai les cheveux plutôt longs, c’est une sorte de coupe au carré, mais mal foutue. En même temps, la dernière fois qu’on m’a coupé les cheveux c’était à une sortie de soirée. Mon très cher petit cousin a eu la sublime idée de me tailler les cheveux, et depuis c’est vraiment n’importe quoi. C’est irrégulier et très étrange. Vous vous demandez pourquoi je ne suis pas passé chez le coiffeur le lendemain ? Bah écoute mon vieux, d’une j’avais une gueule de bois du tonnerre, et deux, ça fait chier mon père que je sois comme ça. Et le faire chier ça me plaît terriblement. C’est… jouissif. Le faire chier est mon passe-temps depuis ma naissance, et même physiquement. Vous en voulez la preuve ? Vous voyez mes yeux ? Ouais ça y est vous avez remarqué ! J’ai des yeux vairons. J’avoue que j’en suis assez fier, et ça m’aide très souvent pour plaire aux belles personnes. Même ma tenue vestimentaire l’exaspère. Et je peux vous dire qu’il n’a pas intérêt à y toucher, c’est sacré la garde robe. Je prends soin de mes chapeaux et de mes chaussures. J’ai de tout dans mon armoire. Etant un ninja j’ai évidemment toute la panoplie classique, le pantalon où t’es tellement à l’aise dedans qu’on dirait que tu t’es fais dessus, la sacoche pour les armes basiques, le bandeau que j’accroche parfois –une flemme immense me prends lorsque je dois le mettre. Nan mais c’est vrai, je fais comment pour mettre correctement mon chapeau après ? J’suis hystérique sur ce point, c’est le seul moment où ma voix grave est la seule preuve de ma masculinité. Hum… non pas seulement ma voix grave, mais je veux dire qu’habillé c’est la seule preuve. Chacun ses manies, certains aiment manger des ramens vingt-quatre heures sur vingt-quatre, et d’autres prennent plaisir à se vêtir convenablement.

__TELL ME YOUR [UN]PLEASANT STORY


Famille/Relations :


*retient un fou rire*
C’est quoi cette question encore ? Comment sont mes relations avec ma famille ? Nan mais laisse moi rire ! Pour tenir un langage quelque peu élégant je dirai que j’ai une famille brouillonne. En fait je t’explique, j’ai souvent l’impression qu’on a fait un test, on a créé ma famille pour pouvoir concentrer toutes les idioties en un seul endroit. Nan ce n’est pas une crise d’ado. Nan je ne me regarde pas le nombril en disant « personne ne m’aime » ou « je sers à rien » blablabla… C’est juste que ma mère est ninja –donc jamais là- mon père est con, et je vous passe la liste des autres. Les relations sont on ne peut plus tendues.

C’est pour ça que j’aime vivre en solitaire, je veux vivre avec passion avant de crever. Je veux bien souffrir, mais quand ça touche la famille, je trouve que ça fout tout en l’air. Après tout, la famille c’est censé être la base d’une vie. Lorsqu’il y a une naissance, le couple devient une famille, un papa, une maman, et un bébé. Quand l’équation est fausse, le résultat est mauvais. La veille de mon examen j’ai appris des choses que je n’aurais pas du apprendre. Mais ça, je vous raconterai plus tard, j’aimerais passer à autre chose pour détendre un peu l’atmosphère quasi dramatique.

Dans ma famille, le seul que je puisse apprécier est mon petit cousin. A vrai dire, je ne sais pas pourquoi j’aime tant ce petit gars. On se ressemble un peu dans notre mode de vie. La seule différence est qu’il aime ses parents. Lorsqu’il rentre tard il me demande de ne pas dire à mon oncle qu’il a un peu trop bu. Vu son train de vie, on pourrait imaginer qu’il couche avec toutes les filles qui passent, mais il n’y a pas longtemps il m’a fait une drôle de confession. Je ne sais pas exactement pourquoi il m’a avoué ça, sans doute parce qu’on est très proche, mais il est pressé de se marier. Pourquoi ? Réfléchissez un peu… Tous les soirs il voit de belles roses, il les sent, les touche mais ne les cueille jamais. Il veut être amoureux cet idiot. On s’est déjà pas mal disputés sur ce sujet, je lui ai dit qu’il devenait de plus en plus un con.

En fait, j’ai peur qu’il bousille sa vie.


Histoire :


A onze ans on est tellement naïf.

« Sensei ! Sensei ! Mais qu’est ce que vous foutez, vous voulez me tuer ? Cet entrainement est trop difficile, je veux plus être ninja, vous me cassez à chaque fois un bras ou une jambe avec vos explosions. Vous trichez, je ne suis pas de votre niveau, ce n’est pas comme ça que je peux apprendre. Vous êtes injuste. » Ça c’était les gamineries que je sortais chaque semaine à mon cher Sensei. Je savais qu’il voulait servir la cause de notre Tsuchikage, comme nous tous. D’ailleurs, j’ai déjà croisé Sandaime, j’ai même bu un verre en sa compagnie.

Ça peut vous sembler curieux, mais un jour en sortant de mon entraînement, j’ai croisé cet homme un peu rondouillard. Je le savais puissant, et je m’étonnais de le voir dans mon quartier, je ne comprenais pas ce qu’il faisait là. Je me souviens que Sensei avait été un peu brusque lors de mon entrainement, j’avais les cheveux en pagaille et ma veste était à moitié déchirée. A cette époque j’étais timide devant les adultes, j’admirais le Sandaime. J’esquissai un petit sourire et m’inclinai devant lui en signe de respect.

Il me regarda me pencher et me relever. Soudain il s’esclaffa. Il explosa de rire, et me trouva ridicule « Je suis un homme comme un autre, est ce que tous les matins tu salues ton père de cette manière ?
- Non, mais vous c’est différent, vous êtes…
- Je ne veux pas de tout ça, alors la prochaine fois que tu me vois je veux entendre un grand bonjour enjoué, et je ne veux plus de cette timidité. Mais dis-moi, qui t’as mis dans cet état ? »

Je me mis à lui décrire mon entrainement avec Sensei. A la fin de mon récit, Sandaime fronça les sourcils et me sermonna sur le fait que je devais être un homme. « Être un ninja ce n’est pas être n’importe qui » selon lui.

Soudain, mon esprit de gamin agaçant refit surface, j’eus envie de lui demander ce qu’il faisait là. Mais son visage se ferma et il prit un air sérieux. « Je dois y aller » prétexta t-il, sur le moment je n’ai rien dit, je pensais qu’il était très occupé, je le laissais partir sans comprendre. Ma naïveté m’a permis de vivre encore dans ma bulle puérile pendant cinq ans.


La vérité éclot et ma vie s’éclaire.

Je venais de fêter mes seize ans, l’examen de chunin allait avoir lieu. Je descendis les escaliers et entendis une voix qui m’était familière. Je remontai à l’étage discrètement. Je me demandais si je devais descendre saluer le Kage avec joie ou si je devais retourner dans la salle de bain en faisant semblant de n’avoir rien remarqué. Ma réflexion fut interrompue par un éclat de voix.

Ce que j’entendis me noua l’estomac. Cette voix maternelle venait de crier qu’un certain Hayato lui manquait et qu’elle en avait marre de mentir depuis seize ans, que Minato Namikaze était un assassin. Je ne sais pas pourquoi mais des larmes perlaient sur ma joue, j’essayais de les retenir mais je n’y arrivais pas. J’avais déjà entendu parler de Hayato, mais en général, dès que j’arrivais on se taisait.

Je dévalai les escaliers et lança un grand bonjour à Sandaime. Ma mère était rouge de colère et ses yeux étaient emplis de larmes. Je voulais des explications sur cet Hayato, et ces seize ans de mensonges. Seize ans… C’est mon âge, alors ça doit sûrement me concerner, me disais-je.

J’avais raison. Mon père prit ma mère dans ses bras. Elle pleurait à chaudes larmes. Ma question eut l’effet d’une bombe : « Qui est Hayato ?
- Ton père. »
La réponse de Sandaime était un cataclysme. Mon père n’était-il pas cet homme qui serrait ma mère dans ses bras ? Le passé de mes parents explosa.

Ma mère avait aimé Hayato. Ils s’étaient aimés et elle était tombée enceinte. Tous deux étaient ninja. Elle était restée à la maison lorsque Hayato était parti en guerre contre le pays du Feu. Durant cette guerre de nombreux hommes d’Iwa furent tués par Minato Namikaze, le Yondaime de Konoha. Hayato fut l’un de ces hommes. Lorsque je naquis ma mère était seule. Trois ans plus tard elle rencontrai celui que j’appelais « papa ».

Seize ans après la mort de mon père, Sandaime était venu dire à ma mère qu’un homme nommé Orochimaru était apparu à Konoha, et qu’il était venu chercher un Uchiwa. « Konoha doit se reconstruire et Deidara est introuvable ». Le village d’Iwa voulait renforcer sa défense, mais l’un des ninjas les plus puissants avait rejoint l’akatsuki.

La haine montait en moi contre ce Minato Namikaze. Il a tué mon père. Et à cause de lui je devais supporter un beau-père à la con. Je me rendis à l’examen, et ma colère me donna des ailes. Je devins chunin, et je me fis la promesse d’aller à Konoha pour venger mon père. Mais pour cela, je subis un entrainement durant deux ans et dut ensuite faire des pieds et des mains pour gagner la confiance du Tuchikage. Il est vieux mais pas encore totalement con ; je sais qu'il se méfie de moi. Mais à présent, je suis responsable des examens Chûnin, mon job, c'est d'aller à Konoha.

Maintenant tu sais tout, mon sac est prêt, je me casse d’ici et je pars à Konoha. Je sais, je suis seul, mais je n’ai qu’un ennemi. Le Kage de Konoha. Cette enfoirée doit en savoir plus, je veux entendre ses explications sur la mort de mon père, et je tuerai l'Hokage.

Konoha, prépare ta défense.


20h32

Il ne me reste plus qu’une clope. Il faut dire que ça fait pas mal de temps que je traverse le pays ! Je suis parti d’Iwa il y a une petite semaine. Je pensais avoir quelques soucis en traversant le village de Kusa. Mais ce fut l’inverse, je me suis renseigné sur l’histoire du village, et il s’avère qu’un certain Minato Namikaze soit déjà passé par là. J’ai même appris qu’il avait détruit un pont du pays. Je ne comprends pas cet homme, j’ai l’impression que tous ses exploits se résument à la destruction. Il doit y avoir une logique, il n’a pas pu tout briser par pur caprice.

Plus j’avance vers Konoha, et plus je veux savoir ce qui s’est passé entre le hokage et Iwa. Pourquoi avoir tué ces hommes ? Parmi eux se trouvait mon père, il ne peut rester impuni. Mais je pense que je me répète. Il faut que je cesse de geindre et que j’agisse. Dès le petit matin j’infiltrerai Konoha.

Pour le moment je me contente de m’adosser à un arbre pour réfléchir une dernière fois à mon plan. Je me mets à regarder les étoiles tout en me perdant dans mes pensées. La Lune apportait une clarté gênant l’observation des astres. Ne vous égarez pas, je ne deviens pas poétique, loin de là ! Cette lueur m’est favorable, il est plus aisé de surveiller les alentours. Le coin a l’air tranquille, le village de Kusa ne m’a pas menti, ils ne m’ont pas gêné, bien au contraire ! Je dirai même qu’ils m’ont aidé.

En étant dans cette forêt dense, j’ai l’impression d’être toujours en danger. L’Akatsuki reste la menace principale pour Konoha, et je crains que la surveillance soit à son plus haut niveau.

Il va me falloir de la patience pour attendre le petit matin. J’ai envie d’aller dans la chambre de l’hokage, d’ approcher ma lame près de sa gorge, et de lui faire avouer tout ce qu’elle sait . Quand je pense à tout ça, j’entends encore la voix de ma mère « et qu’est ce que tu feras, après ? A quoi ça va te servir ? Il est mort depuis longtemps, laisse son âme reposer en paix. Le passé doit laisser place au présent, oublie tout ça ». Elle est bien gentille, mais elle est un peu naïve la mère poule ! Comme si je n’allais pas réagir. L’injustice m’a toujours mis en rogne, ce n’est pas aujourd’hui que ça va changer.

23h07

Eh voilà, je suis encore en train de divaguer au lieu de penser à ma stratégie. En plus j’ai l’impression qu’il fait une nuit noire, j’ai du mal à discerner ce qui m’entoure. Le vent se lève, et une brise glacée frôle mon corps. Je rapproche les genoux de mon torse, je suis totalement contre l’arbre que j’aperçois à peine. C’est drôle, alors que je pensais à ma mère, une brise m’oblige à me mettre presque en position fœtale pour avoir un peu plus chaud.

Je lève les yeux au ciel, et je me rends compte que la Lune s’est cachée derrière une épaisse barrière de nuage. Il semble que demain soit un jour pluvieux. Qu’il en soit ainsi, je pense que c’est un bon signe. Je peux m’endormir paisiblement.

04h51

Au petit matin, l’atmosphère lourde me réveille, une chaleur étouffante vient contraster avec la fraicheur matinale. Je dois être à Konoha avant que l’orage n’éclate. Je me lève et je me mets à courir aussi vite que je peux vers mon objectif.

Je suis détruit en un seul coup. Une branche. Mon crâne est douloureux, mon esprit voient étoiles se rapprocher. Je suis au bord de l’évanouissement quand un mec m’éjecte de son territoire en un coup de pied à l’estomac.
Avant de pouvoir me relever et me barrer sans demander le pourquoi du comment, je sens me tête tourner, et mes jambes céder. Je peux faire croire ce que je veux à mon corps, mais ce dernier me rappelle toujours à la réalité. Je ne suis pas un surhomme, ces deux derniers jours furent fatigants, je ne tiens plus. Autour de moi, je n’ai pas ma mère pour me bercer de réalité, je n’ai plus de quoi assouvir une vengeance inutile. Je suis vraiment fatigué. Je m’écroule sur place, devant le gars habillé de noir.

J’ouvre les yeux, je suis allongé sur le sol, je vois vaguement quelques personnes tourner autour de moi. J’entends aussi bien que sous l’eau. Je perçois la moitié des mots, je comprends à peine que la belle dame pousse ceux qui sont au dessus de moi « laissez-le respirer ». Je reprends mes esprits, j’inspire tranquillement. La demoiselle se penche vers moi, mon visage se rapproche du mien. Sa main glisse derrière ma lourde tête, elle la lève, je suis presque en position assise. Je suis sûr qu’elle sait que je ne suis pas d’ici, pourquoi me soigne-t-elle ? L’infirmière me rassure et commence les premiers soins. Ma blessure n’était rien du tout, pourtant elle passait du temps à me soigner. Mon teint pâle reprenait progressivement des couleurs. Je voyais enfin son joli sourire rayonner sur son visage de poupée. Mon regard se tourne vers le sol, et je vois que mon bandeau frontal repose par terre. La belle le prend de ses doigts agiles et le remet délicatement dans ma poche.

« Vous avez subi un léger traumatisme à la tête… Rien de grave, mais vous devriez rester ici et vous reposer un peu. »

Mes forces reviennent peu à peu, elle se redresse et me tend un petit sourire.

«Merci. »

Les gens me dévisagent. Bordel mais où je suis ?


18h69

Finalement, la jolie infirmière m’apprend que je suis à Taki et que ce sont les ninjas de ce village qui m’ont tendus un piège. Ces enfoirés pensaient que j’étais un espion d’Orochimaru. Bordel, j’ai la gueule à vouloir m’associer avec cette chose ? J’ai envie de me barrer de ce village de dingues mais mon corps ne me le permet pas. Je me redresse, l’infirmière me caresse l’avant-bras. Je me laisse tomber sur l’oreille et la regarde. Elle m’annonce que j’ai rendez-vous demain avec le Kage du village afin d’éclaircir ma situation.

Konoha, rassure-toi. J'arrive.

__VOUS : [IRL]

Prénom ? Sans aucune importance.
Comment avez-vous connu le fo’ ? Par pur hasard, en fouinant sur l'annuaire des forums, sur forumactif.com.

Spoiler:

Citation :

Validé

Super présentation ! (:
Bienvenu.